Profitant de quelques minutes de pause entre deux copies, je remets en forme les plus vieux articles du blog, qui sont présentés en dépit du bon sens, si on les évalue sur leur mise en page et leur lisibilité. Par la même occasion, je complète certains d’entre eux avec des éléments que je pouvais pas intégrer il y a de cela plusieurs années (ce blog se fait vieux !).
Ainsi, je concluais en Octobre 2006 une série d’articles d’introduction à la philosophie en mettant en parallèle cette manière particulière d’exercer la pensée et les trajectoires hors de l’asphalte de Kowalski dans le film de Richard C. Safarian,Vanishing Point, (1971). Comme j’ai un peu repris cette conclusion (qu’on trouve ici : [nouvelle-introduction-a-la-philosophie-conclusion]), j’en profite pour glisser ici la bande annonce de ce film, qui constitue, il me semble une matrice pour toutes les images en mouvement mettant en scène des voitures en translation dans l’espace. Au passage, dès sa première image, la bande annonce montre à quel point il n’est question, dans ce film, que de trajectoires coupées, bref, de mise en espace. Et il me semblait qu’il y avait quelque chose de cet ordre là dans la philosophie. Quelqu’un comme Deleuze aiderait sans doute à voir plus clair dans ce parallèle.