22h00, veille d’épreuve, si vous faites partie des 3 ou 400 visiteurs qui seront tombés aujourd’hui sur ce blog, sachez qu’il est trop tard pour surfer fiévreusement sur un net qui, au fur et à mesure que la nuit va tomber, s’apparentera de plus en plus à un océan d’inquiétude.
Même si vous avez fait des impasses, même si vous n’arrivez plus à tisser de correspondances entre le programme et vos connaissances, d’ici demain matin, revenez à l’essentiel : on vous demande simplement d’être intelligent, et de mettre cette intelligence au service d’un traitement accadémique d’une question dont vous aurez cerné en quoi elle pose problème. Il n’est même pas vraiment question d’être malin, car les malins doivent se plier aux exigences de la méthode.
Il est donc temps d’éteindre les écrans : ce soir, vous êtes privés d’inspecteur Harry tout autant que de maître Nadjar. Il faut, dans la mesure du possible, dormir.
Et pour tous ceux qui ont usé leur font de baggys, de slims et de survêtements tribandés sur les chaises définitivement trop jaunes et trop bancales des classes dans lesquelles mon estrade s’est posée, nous adresserons, bien que la chance soit pour peu de choses dans ce qui va arriver, tous nos voeux de bon’heur…